Votre avis sur un jugement en suisse ?!

Dans certains maux et maladies, le cannabis peut soulager et avoir différents effets positifs ou négatifs sur le corps humain. Ici, venez discuter de : l'usage médical du cannabis, ces éventuels effets addictifs, effets psychiques et corporels, témoignages, prévention, etc.
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Cannaweb
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Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#1 Message non lu par Cannaweb »

Salut à tous,
J'ai besoin de vos avis sur un jugement suisse. Que veux dire exactement ces phrases :
Pour justifier sa détention du stupéfiant en question, l'appelant a produit plusieurs attestations médicales desquelles il ressort que le Dr. xxx, qui suis l'appelant depuis 1994, lui prescrit des fleurs de chanvre et confirme que la consommation de chanvre est médicalement justifiée en raison de sa maladie rhumatismale grave, douloureuse et invalidante. Sur ce point, le tribunal suivra l'argumentation de l'accusé selon laquelle il pouvait, pour son usage personnel et médical, consommer des fleurs de cannabis prescrites par son médecin.

Ce qui précède vaut également pour la culture de cannabis reprochée à zzzz, rien ne permettant de contredire ses déclarations selon lesquelles l'unique récolte effectuée était destinée à sa consommation personnelle.
Si j'ai bien compris, cela donne le droit de fumer des fleurs, et même de faire une culture personnelle ?

Merci pour vos réponses.
J'me souviens du Ganjah, une espère rare, un mélange entre la Ganja et le H avec une odeur de jah.
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Sodome

Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#2 Message non lu par Sodome »

Apparament oui .

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Armada
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Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#3 Message non lu par Armada »

oui mais lui c'est pour un usage thérapeutique donc je pense pas que tu puisse faire pousser si ta pas l'accord de ton médecin et si il te diagnostique pas une maladie qui te permet de fumer ça sera mort enfin je pense

PEACE :topcool:

CannaGeeK

Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#4 Message non lu par CannaGeeK »

C'est super pour les malades car les MED seront peut être moins réticent a prescrire et qui sait peut être que ça donnerait des idée au français(m'enfin faut pas rêver)

Faut voir le bon coté des chose aussi des fois :wink:

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Cannaweb
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Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#5 Message non lu par Cannaweb »

Bien sur, je parle pour la personne qui a un certificats médicale.
Et j'espère que ce sera confirmé par un avocat (en attente).

Mais si c'est bien le cas, ce serai une avancée majeur en suisse (romande) !
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Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#6 Message non lu par Armada »

La Suisse

La loi fédérale érige en infractions pénales la consommation des produits stupéfiants et toutes les opérations qui les concernent : fabrication, culture, commerce, détention[5],[6]. Cette loi date du 3 octobre 1951 et a été mise en application dès le 1er juin 1952. Elle fut révisée à plusieurs reprises.

Elle distingue cependant la consommation et les infractions commises en vue de la consommation personnelle pour les punir moins sévèrement.

Pour contrer le marché noir et avoir un plus grand contrôle sur une consommation croissante de cannabis, le gouvernement avait entamé des démarches au début des années 2000 afin d'établir une législation plus tolérante vis à vis du cannabis. Le Conseil des États était favorable à une légalisation partielle (vente aux personnes majeures, culture limitée, déclarations nécessaires auprès des autorités, etc.) mais le Conseil national s'opposa à deux reprises au projet. La révision de la loi fut ainsi définitivement repoussée le 14 juin 2004 par 102 voix contre 92.[7]

En 2004, on comptait dans le pays environ deux cent quarante magasins fournissant des produits liés au cannabis (graines, matériel pour la culture, accessoires pour la consommation, etc.). À la limite de la légalité, certains ont été contraints de fermer. Relativement tolérantes dans les années 1990, les autorités ont cependant durci la répression dans certains contextes, en particulier la consommation à l'armée et dans les transports publics. En pratique, la répression varie selon les cantons

si ça peut d'aider je sais pas il parle pas des ordonnance :jesors:

PEACE :topcool:

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portnou
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Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#7 Message non lu par portnou »

Salut ganjah,
Content de te lire, j'espere que tu vas bien ;)

Concernant ce problème particulier, je serais tenté de dire que oui, le tribunal lui a bien donné le droit de consommer et aussi de produire sa consommation.
Maintenant, je ne domine pas les subtilités du droit Suisse, d'autant qu'il doit varier en fonctiondes cantons.
Un avis professionnel me semblerait adapté.
la violence est le dernier refuge de l'incompétence

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Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#8 Message non lu par Cannaweb »

Salut portnou, moi ça va, malgré quelques petits soucis. et ça ira mieux si ce jugement est bien comme en a envie de le lire !
J'attend avec impatience l'avis juridique.
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Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#9 Message non lu par Armada »

Le cannabis devient (presque) légal

En 1996, la Californie a autorisé l’usage de la marijuana à des fins médicales. Depuis, douze autres Etats lui ont emboîté le pas, poussant le gouvernement fédéral à adopter une position moins répressive. La consommation est pour ainsi dire banalisée. Le magazine Fortune raconte.
_________________________________________________________________
Lorsque Irving Rosenfeld vient me chercher à l’aéroport de Fort Lauderdale [Floride], son 4 x 4
empeste la marijuana. Cet homme de 56 ans, vice-président des ventes pour une société de courtage locale, me confie qu’il fume 10 à 12 joints par jour depuis trente-huit ans. Voilà qui en soi est déjà assez exceptionnel, mais si Rosenfeld est un cas à part, c’est parce que, depuis vingt-sept ans, c’est le gouvernement américain qui lui procure directement son herbe. Tous les vingt-cinq jours, il va chercher dans une pharmacie une boîte de 300 cigarettes cultivées et roulées par les autorités fédérales, qui lui sont envoyées par l’Institut national des toxicomanies (NIDA) avec la bénédiction de la Food and Drug Administration (FDA), l’agence américaine de réglementation des médicaments et des produits alimentaires. Rosenfeld fume de la marijuana pour soulager des douleurs chroniques et des spasmes musculaires dus à une maladie osseuse rare. Quand il avait 10 ans, les médecins ont découvert que son squelette était parsemé de plus de 200 tumeurs et lui ont diagnostiqué une maladie congénitale : l’exostose cartilagineuse multiple. Après sept opérations, il continue de vivre avec des dizaines d’ostéochondromes. Rosenfeld est l’une des quatre personnes aux Etats-Unis auxquelles le gouvernement fédéral fournit du cannabis thérapeutique – quatre exceptions à la règle, car, officiellement, selon l’agence américaine de lutte antidrogue (DEA), le NIDA et la FDA, le cannabis “n’a actuellement aucun usage médical admis”. C’est l’unique raison pour laquelle la législation fédérale continue à classer la marijuana dans la même catégorie que l’héroïne, comme “substance contrôlée de classe I” que les médecins n’ont pas le droit de prescrire. (De nombreux psychotropes dangereux dérivés de l’opium et entraînant une accoutumance font en revanche l’objet de plus d’indulgence, puisqu’ils sont inscrits en classe II et peuvent être délivrés sur ordonnance.)

Depuis quelques années, la position du gouvernement fédéral est toutefois de plus en plus difficile, voire intenable. Treize Etats se sont d’ores et déjà dotés de lois autorisant leurs résidents à consommer du cannabis à des fins médicales, généralement pour soulager des douleurs chroniques (notamment les névralgies liées au diabète, au sida et à l’hépatite), limiter des troubles du mouvement et la spasticité (en particulier pour les patients atteints de sclérose en plaques), lutter contre les nausées et les vomissements (pour les patients en chimiothérapie, par exemple) et stimuler l’appétit chez les personnes souffrant de maladies comme le cancer et le sida. Dans quinze autres Etats, des projets de loi ou des référendums sont à l’étude qui pourraient leur permettre de rejoindre d’ici à l’année prochaine la liste des Etats dans lesquels la consommation de marijuana médicale est légalisée.

Aujourd’hui, la vraie question est donc de savoir jusqu’à quel point la marijuana n’est pas déjà légalisée, tout au moins en tant qu’option locale. Nous sommes ici face à un phénomène culturel qui se développe depuis quinze ans et qui a atteint son paroxysme avec le revirement crucial de la position officielle effectué discrètement par le président Barack Obama en février dernier. Rappelons tout d’abord le contexte historique : pendant la présidence de George W. Bush (et celle de Bill Clinton), le ministère de la Justice américain considérait les lois des Etats sur la marijuana thérapeutique comme nulles et non avenues. Il estimait que la législation fédérale contredisait ce type de lois, et les invalidait donc – avis qui fut confirmé par la Cour suprême en 2005. Depuis, le gouvernement fédéral a régulièrement effectué des descentes et poursuivi en justice les prévenus qui se prévalaient de lois des Etats sur la marijuana médicale.

Fin février, le président Obama a introduit une nouvelle approche. Au cours d’une conférence de presse, son ministre de la Justice, Eric Holder, a confirmé qu’il n’effectuerait plus de perquisitions chez les individus qui se conformaient aux lois locales sur la marijuana médicale et ne les poursuivrait plus devant les tribunaux fédéraux. Cette initiative pourrait avoir des répercussions considérables. Elle pourrait avoir les mêmes effets que le 21e amendement à la Constitution, qui en 1933 a abrogé la prohibition fédérale sur la vente de boissons alcoolisées.

Voici comment. Lorsqu’un Etat s’engouffre dans un vide juridique pour autoriser l’usage médical de la marijuana, il doit tout d’abord résoudre une question épineuse : définir précisément ce qui constitue un usage médical. Après tout, les médecins prescrivent régulièrement des drogues puissantes comme le Valium, le Viagra ou le Prozac à des patients qui ne sont pas vraiment au seuil de la mort. Si un Etat ne circonscrit pas très strictement ce que recouvre l’expression “usage médical”, c’est la porte ouverte à tous les abus. C’est exactement ce qui est arrivé en Californie. Comme la plupart des Etats autorisant la marijuana thérapeutique, la Californie permet aux médecins de “recommander” l’usage de la marijuana à des patients souffrant de certaines pathologies graves bien définies. (Les auteurs de la loi se sont soigneusement abstenus d’utiliser le terme “prescrire”, afin d’éviter tout conflit avec la législation fédérale.) La loi californienne ajoute cependant une clause fourre-tout qui permet aux médecins d’approuver également l’usage du cannabis pour “toute autre affection susceptible d’être soulagée par la marijuana”. Dans la pratique, les médecins, qui peuvent aisément s’abriter derrière le secret médical, sont libres de décider en dernière instance des pathologies pouvant relever de cette définition. Ils ne font d’ailleurs pas autre chose avec les médicaments agréés. Une fois qu’une substance a été autorisée par la FDA pour une indication donnée, ils peuvent en toute légalité la prescrire pour d’autres pathologies, même si l’innocuité et l’efficacité du médicament en question n’ont pas encore été certifiées pour cette utilisation.

Les praticiens californiens permettent ainsi à des patients de consommer de la marijuana pour soulager des symptômes aussi divers que l’angoisse, les maux de tête, le syndrome prémenstruel et l’insomnie. “On peut même s’en procurer pour l’angoisse de la page blanche”, commente Allen St. Pierre, directeur exécutif de la National Organization for the Reform of Marijuana Laws [NORML, organisation nationale pour la réforme des lois sur la marijuana].

si vous voulais lire la suite :up:

PEACE :jesors:

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Armada
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Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#10 Message non lu par Armada »

Le cannabis devient (presque) légal

En 1996, la Californie a autorisé l’usage de la marijuana à des fins médicales. Depuis, douze autres Etats lui ont emboîté le pas, poussant le gouvernement fédéral à adopter une position moins répressive. La consommation est pour ainsi dire banalisée. Le magazine Fortune raconte.
_________________________________________________________________
Lorsque Irving Rosenfeld vient me chercher à l’aéroport de Fort Lauderdale [Floride], son 4 x 4
empeste la marijuana. Cet homme de 56 ans, vice-président des ventes pour une société de courtage locale, me confie qu’il fume 10 à 12 joints par jour depuis trente-huit ans. Voilà qui en soi est déjà assez exceptionnel, mais si Rosenfeld est un cas à part, c’est parce que, depuis vingt-sept ans, c’est le gouvernement américain qui lui procure directement son herbe. Tous les vingt-cinq jours, il va chercher dans une pharmacie une boîte de 300 cigarettes cultivées et roulées par les autorités fédérales, qui lui sont envoyées par l’Institut national des toxicomanies (NIDA) avec la bénédiction de la Food and Drug Administration (FDA), l’agence américaine de réglementation des médicaments et des produits alimentaires. Rosenfeld fume de la marijuana pour soulager des douleurs chroniques et des spasmes musculaires dus à une maladie osseuse rare. Quand il avait 10 ans, les médecins ont découvert que son squelette était parsemé de plus de 200 tumeurs et lui ont diagnostiqué une maladie congénitale : l’exostose cartilagineuse multiple. Après sept opérations, il continue de vivre avec des dizaines d’ostéochondromes. Rosenfeld est l’une des quatre personnes aux Etats-Unis auxquelles le gouvernement fédéral fournit du cannabis thérapeutique – quatre exceptions à la règle, car, officiellement, selon l’agence américaine de lutte antidrogue (DEA), le NIDA et la FDA, le cannabis “n’a actuellement aucun usage médical admis”. C’est l’unique raison pour laquelle la législation fédérale continue à classer la marijuana dans la même catégorie que l’héroïne, comme “substance contrôlée de classe I” que les médecins n’ont pas le droit de prescrire. (De nombreux psychotropes dangereux dérivés de l’opium et entraînant une accoutumance font en revanche l’objet de plus d’indulgence, puisqu’ils sont inscrits en classe II et peuvent être délivrés sur ordonnance.)

Depuis quelques années, la position du gouvernement fédéral est toutefois de plus en plus difficile, voire intenable. Treize Etats se sont d’ores et déjà dotés de lois autorisant leurs résidents à consommer du cannabis à des fins médicales, généralement pour soulager des douleurs chroniques (notamment les névralgies liées au diabète, au sida et à l’hépatite), limiter des troubles du mouvement et la spasticité (en particulier pour les patients atteints de sclérose en plaques), lutter contre les nausées et les vomissements (pour les patients en chimiothérapie, par exemple) et stimuler l’appétit chez les personnes souffrant de maladies comme le cancer et le sida. Dans quinze autres Etats, des projets de loi ou des référendums sont à l’étude qui pourraient leur permettre de rejoindre d’ici à l’année prochaine la liste des Etats dans lesquels la consommation de marijuana médicale est légalisée.

Aujourd’hui, la vraie question est donc de savoir jusqu’à quel point la marijuana n’est pas déjà légalisée, tout au moins en tant qu’option locale. Nous sommes ici face à un phénomène culturel qui se développe depuis quinze ans et qui a atteint son paroxysme avec le revirement crucial de la position officielle effectué discrètement par le président Barack Obama en février dernier. Rappelons tout d’abord le contexte historique : pendant la présidence de George W. Bush (et celle de Bill Clinton), le ministère de la Justice américain considérait les lois des Etats sur la marijuana thérapeutique comme nulles et non avenues. Il estimait que la législation fédérale contredisait ce type de lois, et les invalidait donc – avis qui fut confirmé par la Cour suprême en 2005. Depuis, le gouvernement fédéral a régulièrement effectué des descentes et poursuivi en justice les prévenus qui se prévalaient de lois des Etats sur la marijuana médicale.

Fin février, le président Obama a introduit une nouvelle approche. Au cours d’une conférence de presse, son ministre de la Justice, Eric Holder, a confirmé qu’il n’effectuerait plus de perquisitions chez les individus qui se conformaient aux lois locales sur la marijuana médicale et ne les poursuivrait plus devant les tribunaux fédéraux. Cette initiative pourrait avoir des répercussions considérables. Elle pourrait avoir les mêmes effets que le 21e amendement à la Constitution, qui en 1933 a abrogé la prohibition fédérale sur la vente de boissons alcoolisées.

Voici comment. Lorsqu’un Etat s’engouffre dans un vide juridique pour autoriser l’usage médical de la marijuana, il doit tout d’abord résoudre une question épineuse : définir précisément ce qui constitue un usage médical. Après tout, les médecins prescrivent régulièrement des drogues puissantes comme le Valium, le Viagra ou le Prozac à des patients qui ne sont pas vraiment au seuil de la mort. Si un Etat ne circonscrit pas très strictement ce que recouvre l’expression “usage médical”, c’est la porte ouverte à tous les abus. C’est exactement ce qui est arrivé en Californie. Comme la plupart des Etats autorisant la marijuana thérapeutique, la Californie permet aux médecins de “recommander” l’usage de la marijuana à des patients souffrant de certaines pathologies graves bien définies. (Les auteurs de la loi se sont soigneusement abstenus d’utiliser le terme “prescrire”, afin d’éviter tout conflit avec la législation fédérale.) La loi californienne ajoute cependant une clause fourre-tout qui permet aux médecins d’approuver également l’usage du cannabis pour “toute autre affection susceptible d’être soulagée par la marijuana”. Dans la pratique, les médecins, qui peuvent aisément s’abriter derrière le secret médical, sont libres de décider en dernière instance des pathologies pouvant relever de cette définition. Ils ne font d’ailleurs pas autre chose avec les médicaments agréés. Une fois qu’une substance a été autorisée par la FDA pour une indication donnée, ils peuvent en toute légalité la prescrire pour d’autres pathologies, même si l’innocuité et l’efficacité du médicament en question n’ont pas encore été certifiées pour cette utilisation.

Les praticiens californiens permettent ainsi à des patients de consommer de la marijuana pour soulager des symptômes aussi divers que l’angoisse, les maux de tête, le syndrome prémenstruel et l’insomnie. “On peut même s’en procurer pour l’angoisse de la page blanche”, commente Allen St. Pierre, directeur exécutif de la National Organization for the Reform of Marijuana Laws [NORML, organisation nationale pour la réforme des lois sur la marijuana].

si vous voulais lire la suite :up:

PEACE :jesors:
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.

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Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#11 Message non lu par The Happy Sower »

:roll: j'ai la même sur mon youtube :lol:

Image

:jesors:

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Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#12 Message non lu par Armada »

C'est pas exactement la même :okjesors:

PEACE :wink:

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Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#13 Message non lu par Cannaweb »

Salut Armada, c'est très intéressant ton histoire du cannabis médicale en usa.
P'être que, en suisse, cela pourrait faire boule de neige, et permette un grand changement pour tous ceux qui ont un certificat médical !
J'me souviens du Ganjah, une espère rare, un mélange entre la Ganja et le H avec une odeur de jah.
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Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#14 Message non lu par The Happy Sower »

si tu peux prouver que la medecine ne peux te fournir meilleur traitement et que c'est le seul qui te permette d'aller mieux, que c'est la seul vrai solution acceptable pour le patient et le medecin, parce que blablabla blablabla (faut l'aide du médecin hein pour le blabla :lol: ), ben comment veux tu qu'une cours condamne le loulous :?: ca pose d'énormes soucis de moralité non? :mrgreen:

ben oui c'est de la drogue et c'est totalement illégal selon les lois en vigueur dans ce pays mais si c'est le seul médicament qui marche! :lol:


Amicalement
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Re: Votre avis sur un jugement en suisse ?!

#15 Message non lu par Armada »

yeah :wink:

Oui moi aussi j'ai trouver sa super intéressant peut être qu'un jours ça suivra en France et et suisse :wink: qui sais

PEACE :up:

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