☆☆ Your Daily News: revue de presse réactualisée par vous ☆☆

[towtow's]

Mais quelle est cette "grosse plante" qu'ils transportent dans leur voiture?

http://www.lepost.fr/article/2010/10/01 ... nabis.html

.

faut vraiment ètre c*n,avé 2 barres pour mieux ce retrouvé à la barre

[ScrogMan]

La , ça envoie le bois......

"Deux à trois camions ont été nécessaires pour transporter le cannabis."


"ce cultivateur a expliqué qu'il n'était pas informé de l'existence de ces plants de cannabis dans son champ"
Bien joué , il a lut le guide sur la garde a vue

"le cultivateur aurait tiré sur la voiture des voleurs qui lui avait dérobé des plants de cannabis"

http://www.midilibre.com/articles/2010/ ... 08199.php5

[ScrogMan]

Allez, continuons dans la désinformation et le sensationnelle...

6 pieds -> 40 Kilos ...

J'aurais bien aimé êtres au volant du Kangoo

http://www.lasemainedelallier.fr/actual ... -2352.html

[ScrogMan]

Ales. FAITS DIVERS Chusclan 143 pieds de cannabis découverts dans la garrigue

http://www.midilibre.com/articles/2010/ ... 12964.php5

[towtow's]

pt'in sont c*n les chasseurs de la garrigue .

[ScrogMan]

Il cultivait du cannabis chez lui Bah moi aussi...

"
AFP
13/10/2010 | Mise à jour : 21:56 Réactions (31)
Un homme de 42 ans a été interpellé ce matin à son domicile de Bouville (Essonne), dans lequel deux pièces étaient entièrement consacrées à la culture du cannabis, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

Deux pièces du pavillon, situé dans le sud de l'Essonne, étaient entièrement aménagées pour la culture du cannabis. 95 pieds ont été retrouvés, ainsi qu'un kilogramme d'herbe séchée, prête à être vendue. Les revenus générés par cette activité sont encore inconnus. L'homme, salarié d'une entreprise, a été placé en garde à vue à l'issue de la perquisition."

source: http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/ ... ez-lui.php

[ScrogMan]

Mons. Il cultivait du cannabis pour soigner sa maladie

"
60 pieds de cannabis ont été retrouvés dans le jardin d'un homme d'une cinquantaine d'années à Mons. Les grosses prises se multiplient depuis quelques semaines.

Un homme d'une cinquantaine d'années vient d'être interpellé par les services de gendarmerie à Mons, une petite ville de l'Est toulousain. Depuis plusieurs années, il avait pris l'habitude de se livrer, dans son jardin, à la culture du cannabis. Une soixantaine de pieds de cannabis ont ainsi été retrouvés à l'abri, dans sa propriété.

Arrivés à maturité et sans doute bien soignés par leur jardinier, ils étaient prêts pour la récolte. Un travail de titan au regard de la quantité retrouvée. Devant les enquêteurs, lors de sa garde à vue, l'individu a soutenu qu'il cultivait la drogue pour son usage personnel afin de soulager une maladie. Il s'adonnait à cette pratique depuis plusieurs années.

Fin septembre déjà, à Bouloc, les gendarmes avaient été attirés par une bien étrange exploitation. Pas moins de 40 pieds avaient été découverts, sous serre.

Les policiers toulousains, de leur côté, avaient saisi 3 kg d'herbe en train de sécher et de nombreux plants en train de pousser sous des lampes à iode dans une demeure familiale de la banlieue de Gaillac. « Même depuis la rue, ça sentait très fort », avait glissé un enquêteur.

Avec l'arrivée de la pluie et les jours qui raccourcissent, la période est propice aux récoltes. C'est en effet au mois d'octobre que ce type de plants arrive à maturité.

À Mons, comme à Bouloc, les autorités ont arraché et détruit les pieds de cannabis. Le cultivateur devra prochainement comparaître devant le tribunal correctionnel de Toulouse.
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source:http://www.ladepeche.fr/article/2010/10 ... ladie.html

Et encore barvo pour les "lampes à iode"

[ScrogMan]

Saint-Étienne : il cultivait du cannabis à sa fenêtre
publié le 09.10.2010
"
Jeudi, en fin d'après-midi,
un véhicule de la BAC (Brigade anti-criminalité) patrouillait rue Louis-Blanc, dans le quartier de Villeboeuf-le-Haut. C'est alors qu'un policier remarquait trois plants de cannabis sur le rebord de fenêtre d'une habitation.
L'équipage se rendait au domicile pour obtenir des explications.
Mais la personne qui leur ouvrait la porte déclarait que les plants appartenaient à un jeune homme qui était absent. Les policiers décidaient de l'attendre sur place et, peu de temps après, celui-ci rentrait au domicile. Il était alors interpellé et les lieux étaient fouillés.
C'est ainsi que les fonctionnaires trouvaient vingt-huit plants de cannabis, dont les plus hauts atteignaient 1,20 m.
Ils découvraient aussi 29 g de résine de cannabis.
Le jeune homme, âgé de vingt-deux ans, leur déclarait que c'était uniquement pour sa consommation personnelle.
En l'absence de toute trace de trafic, il ne sera jugé que pour détention de produits stupéfiants.
"

Source:http://www.leprogres.fr/fr/region/la-ha ... netre.html

[lastache]

Faut que j'arrête de lire ce sujet, je vais encore me faire une crise de paranoïa.
Entre le gars qui a 1kg de stock et l'autre qui a 60 plants pour sa maladie, les mecs abusent quand même. On est loin de l'autoproduction personelle.

[ScrogMan]

Salut,
en meme temps c'est pas un hobbie banal
Sans etres parano il faut rester prudent, apres pour le nombre de pieds, chacun reste responsable de ce qu'il fait.

[lastache]

C'est quand même chiant de ne pas avoir le droit de faire pousser une pauvre mauvaise herbe ! ^^
Après comme tu le dis, chacun voit midi à sa porte et assume les risques.

[ScrogMan]

C'est sur, mais en Fr c'est pas demain le veille.
La revue de presse permet de voir "un peu" ce qu'il faut éviter de faire, genre "plante sur le balcon" quand tu fait du IN.

[ilovesnoopdog]

Nous avons compté 143 pieds
plantés dans des pots de 30 litres, une pompe accrochée à un arbre pour les arroser et dix mètres de tuyaux dans la Cèze. C'est énorme, nous nous serions vraiment crus dans une forêt jungle » , raconte un enquêteur.




il sort d'ou le bleue la ... sérieux une forêt jungle ...c'est kiki fume ?!?!

[Tyler]

je me suis fait la même réflexion

Par contre dans l'article ils pourraient dire comment ils font pour faire fonctionner la pompe en guérilla, ca nous intéresse

[link²]

une autre façon de voir les choses

MA CABANE PAS AU CANADA

JEUX D’EAU D’ADOS
Mis à jour le :15 septembre 2005. Auteur : Gilles Lucas.

« Si on préfère être dehors et ensemble, c’est parce qu’on ne veut pas rester à la maison et ne pas être seul. Quand on est dedans, on fait toujours la même chose. C’est monotone. » En quelques mots, un des jeunes de cette petite équipe de huit ados d’un village de l’Aude a défini leur programme. Ils ne sont pas accrochés à la play-station et à la télé. Et en plus,l’école ne les passionne pas. Ils se promènent et, au gré de leurs errances, se découvrent des talents de jardiniers hors pair.

Au bout du village, à la lisière du bois, après le cimetière, il y a un épais fourré de ronces et de petits arbres d’où émerge un arceau métallique et rouillé. En pénétrant dans cette étroite jungle, on aperçoit, rongé par les herbes, un puits, un vrai puits empierré. La petite bande d’ados creuse un tunnel dans le maillage de ronces. Le puits n’est pas sec. Alors ils se mettent à l’ouvrage. Dès qu’ils ont un instant de libre, discrètement, ils défrichent, taillent, coupent les arbres, arrachent les racines, retournent la terre, nettoient, avec les quelques outils glanés au cours de leurs pérégrinations, et conviennent de conserver les contours du bosquet afin d’en faire une clôture végétale. Quand cette nouvelle clairière de plusieurs dizaines de mètres carrés semble enfin propre, ils creusent plusieurs larges trous et dessinent à l’extrémité du terrain deux rectangles qu’ils encerclent d’un petit muret de terre.

Ils peuvent alors semer dans ces rectangles les graines de radis et de salade qu’ils ont récoltées avec les outils. Dans les trous, ils plantent les plants de cannabis qui avaient commencé à naître à l’abri, dans les jardins familiaux. La lecture de quelques livres de jardinage, dont un spécialisé sur les engrais, leur a enseigné l’utilisation du fumier et la préparation du purin d’ortie. Ils disposent de la paille au pied des plants afin de conserver l’humidité et de retarder la venue de mauvaises herbes. Et l’arrosage peut être très généreux. Mais en quelques semaines, alors que les plantations grandissent et s’épanouissent, le puits s’assèche. Les jeunes ne tardent pas à élaborer la parade. D’abord, récupérer de grands récipients, ce seront de vieilles baignoires, et trouver un moyen de s’approvisionner en eau, ce sera le robinet du cimetière. Reste à trouver de quoi relier les deux. Plusieurs dizaines de morceaux de tuyaux épars et de tailles différentes, mis bout à bout, feront l’affaire. C’est une construction hétéroclite à multiples grosseurs. Les éléments sont fixés entre eux à grands renforts de rubans adhésifs.

Mais l’opération d’irrigation n’est possible que la nuit. Alors,quelques nuits par semaine, les jeunes se relaient. Dans l’obscurité, alors que les chiens aboient tout alentour, ils montent le dispositif, le font courir au sol, l’attachent solidement au robinet du cimetière, et remplissent le puit, les baignoires et tous les récipients possibles accumulés dans leur petit domaine, et passent une grande partie de la nuit à attendre patiemment que tous les niveaux soient pleins. Les plants se développent et les radis et les salades grossiraient s’ils n’étaient pas si serrés dans leur rectangle où l’eau est retenue par les petits murets de terre. Mais dans cette région de production de 11°5, les langues se laissent aller, de crainte d’une concurrence aussi déloyale. Les pandores rôdent sur « indication ». Un des jeunes est surpris au moment où il sort d’entre les ronces. Il se prend deux baffes, on lui déchire son tee-shirt. Voilà rondement réglé, au moins là, le problème posé par ces jeunes d’aujourd’hui qui ne s’intéressent à rien, ne savent et ne veulent rien faire. « Rien que des incapables », comme disent les chargés d’orientation en milieu scolaire. En attendant l’arrivée des éducateurs.