Quand le gentil Bernard de la Villardière est vexé, il se transforme
Bernard de la Villardière n’en peut plus des critiques. Non, il n’est pas un journaliste coincé qui fait des émissions racoleuses !
Fort du 200ème numéro d‘Enquête exclusive fêté fin novembre, c’est dans Tecknikart que le journaliste de M6 est monté au créneau.
Il tire pêle-mêle sur tout ce qui bouge, morceaux choisis :
« Quand c’est Yann Barthès qui caricature notre émission, ça va, parce que c’est fait avec humour. Mais quand c’est Télérama ou Libé, ça suinte la mauvaise foi. Ces médias sont mal écrits et d’une profonde inculture ».
« On fait beaucoup de sujets sur l’armée ? Oh, pas plus que sur la drogue et les putes ! ».
« Quand on va en Afghanistan et que l’équipe revient avec une séquence tournée dans un bordel de Kaboul, je suis bien obligé de le mettre. »
Mais aussi sur Dominique Strauss-Kahn : « Sur le plan moral, ce qu’a fait DSK est indigne, parce qu’il y a clairement abus de faiblesse ».
Quant à son image très lisse, Bernard de la Villardière révèle son côté baroudeur de l’extrême : « J’ai aussi fumé du cannabis, comme tout le monde. J’ai même pris des champignons hallucinogènes au Népal quand j’avais une vingtaine d’années à Pokhara ».